
Le portail énergétique du 10 octobre 2025 : une clé cosmique… ou un rappel de l'essentiel ?
Écrit par Marie AUFFRAY
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10/10. Deux chiffres qui claquent. Comme deux portes ouvertes sur autre chose. Il y a des dates comme ça. Elles résonnent. Elles chuchotent dans le silence. Elles appellent sans crier. Le 10 octobre 2025 n’est pas une journée comme les autres. Non. C’est un portail énergétique. Un de ces moments suspendus où le monde intérieur semble en écho parfait avec l’univers au-dessus de nos têtes.
Mais attendez. Un portail énergétique ? Vraiment ? Pas besoin d’avoir lu trois grimoires de sorcellerie ou de méditer en lotus sur une falaise. C’est plus subtil. Plus humain. Et étrangement… ça ressemble un peu à l’esprit de Noël. Oui, on vous jure.
Une vibration spéciale, presque électrique
Ce 10/10, on entre dans un couloir invisible. Un passage. Une onde. Appelez ça comme vous voulez. Mais beaucoup le sentent : le monde ralentit d’un millimètre, le souffle devient plus court, plus dense. Et dans ce calme étrange, tout paraît plus clair. On voit ses peurs. Ses envies. Ses mensonges. Et parfois… ses rêves oubliés. Ceux qu’on avait remisés, avec les décorations de l’année dernière.
Ce portail, c’est comme un miroir. Mais un miroir magique. Il ne reflète pas votre tête du matin. Il montre ce qui bout sous la surface. Il révèle ce qui doit changer, ou au contraire, ce qu’il faut chérir. Sans filtre. Sans détour.
Pourquoi le 10 octobre ? Pourquoi maintenant ?
D’un point de vue numérologique, le 10, c’est le début d’un nouveau cycle. On clôt le neuf, on passe à autre chose. Et comme par hasard (ou pas), en 2025, cette journée tombe juste après l’équinoxe d’automne. La lumière baisse. Les feuilles tombent. Les âmes aussi se délestent.
On entre doucement dans cette période où on se rapproche de soi, de la maison, du chaud, du tendre. Ça ne vous rappelle rien ? Un feu de cheminée. Une odeur de pain d’épices. Une étoile qui clignote dans une vitrine. Voilà. On touche à l’essence de Noël, sans y être encore. Mais le parfum est déjà là. Discret. Intime.
Ce qu’on ressent pendant ce portail
Pas de boule de cristal ici. Juste des sensations que beaucoup partagent :
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Un besoin urgent de faire le tri. Dans les placards. Dans le cœur.
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Des souvenirs qui remontent sans prévenir. Une odeur, une photo, et paf, les larmes.
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Une envie de douceur. De ralentir. D’écouter de la musique en boucle. Ou de marcher sans but.
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Et parfois, un ras-le-bol. Comme si tout ce qu’on supportait avant devient insupportable.
C’est normal. C’est même bon signe. Ce portail du 10 octobre pousse à être honnête. Vraiment honnête. Avec soi-même. Et ça, c’est pas toujours joli. Mais c’est puissant. Comme un Noël où on n’attend plus rien, mais où tout arrive.
Un Noël avant l’heure ?
C’est là que ça devient intéressant. Ce portail-là, c’est un peu le sapin intérieur. Celui qu’on n’ose pas toujours décorer. Il invite à poser ses intentions. Pas des vœux en l’air. Non. Des choix vibrants. Des décisions qu’on sent dans le ventre.
On ne parle pas ici d’acheter une dinde ou d’emballer un parfum. On parle de s’autoriser à rêver à nouveau. À aimer. À dire non. Ou à dire enfin "je suis prêt".
Et si Noël, ce n’était pas juste une fête ? Mais un état d’âme qui se prépare bien avant décembre ? Ce portail du 10/10, il pourrait bien être l’allumette. Celle qui précède la lumière. Celle qui grésille dans le noir, juste avant la magie.
Comment en profiter (vraiment) ?
Pas besoin d’un rituel compliqué. Pas besoin non plus d’aller s’isoler dans une grotte. Voici quelques gestes tout simples, mais puissants, à poser ce jour-là – ou autour de cette date :
Écouter le silence
Cinq minutes. Juste cinq. Le matin ou le soir. Un plaid. Une tasse chaude. Et rien. Ce rien qui dit tout. Ce rien qui fait place à l’essentiel. À ce qu’on n’entend jamais quand tout hurle.
Écrire sans réfléchir
Une page. À la main. En vrac. Ce qui sort. Une colère. Une peur. Une envie. Peu importe. L’encre capte l’ombre. Et parfois, elle éclaire sans prévenir.
Allumer une lumière
Une bougie. Une guirlande. Même une lampe de poche. Le geste est symbolique. On choisit de mettre de la clarté là où c’est flou. Et ça, c’est un acte de foi. Un vrai.
Dire merci
À qui vous voulez. À ce prof du collège. À cette voisine. À votre chat. Ou même à vous. Gratitude. C’est un mot galvaudé, on est d’accord. Mais bien utilisé, c’est un baiser à l’univers.
Préparer son Noël intérieur
Et si on s’y prenait maintenant ? Pas pour acheter. Pour ressentir. Qu’est-ce qu’on veut vivre en décembre ? Quelle ambiance ? Quelle chaleur ? Et surtout, avec qui ? Le 10 octobre, c’est le bon moment pour le sentir. Pas le planifier. Le ressentir.
Ce que ce portail pourrait vous souffler
Il y a toujours un message caché dans ces moments-là. Mais il est souvent tout simple. Du genre :
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“Tu n’as pas besoin d’en faire autant.”
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“Tu peux laisser partir ce qui ne t’appartient plus.”
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“Tu es prêt à recevoir.”
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“Rappelle-toi de qui tu es vraiment.”
Parfois, c’est une chanson à la radio. Parfois, un rêve étrange. Parfois, une discussion dans une file d’attente. Peu importe la forme. Ce qui compte, c’est d’écouter. De capter la petite voix derrière le bruit.
De novembre à décembre : quand les portails s’ouvrent et que l’âme frissonne
Il y a des périodes où l’air change. On ne parle pas de météo, non. On parle de cette chose sans nom, un peu floue, qui passe sous la peau. Quelque chose qui fait qu’on dort différemment. Qu’on pense à des trucs d’avant. Ou qu’on rêve plus fort. Entre novembre et décembre, il se passe quelque chose. Pas juste parce qu’on mange plus de chocolat. Mais parce que le ciel, lui, s’agite en silence.
Novembre : le mois des passages secrets
C’est un mois bizarre, novembre. On ne l’aime jamais vraiment. Il n’a ni la joie de l’été, ni les paillettes de Noël. Il traîne sa pluie, ses feuilles mortes, son odeur de terre humide. Et pourtant… c’est peut-être le mois le plus spirituel de l’année.
Pourquoi ? Parce qu’on est entre deux mondes. Ni vraiment vivant, ni totalement endormi. On est dans l’entre-deux. Et dans l’invisible, ça pulse.
Le 11/11 : quand les chiffres deviennent des clés
Chaque année, le 11 novembre, le fameux 11:11. Une vibration puissante. Deux piliers. Deux portes. Un portail géant pour l’âme. Ce jour-là, il ne s’agit pas d’agir. Il s’agit d’écouter. Ce qu’on ressent. Ce qu’on évite. Ce qu’on n’ose pas encore faire.
Ce jour-là, beaucoup ressentent une fatigue étrange. Ou au contraire, une lucidité rare. Comme si on voyait clair dans le brouillard. Les guides intérieurs parlent plus fort. Les doutes s’éclaircissent. Les décisions deviennent plus instinctives. On comprend d’un coup ce qu’on portait sans savoir.
Et ce n’est pas un hasard si ce jour-là, certains allument une bougie. Ou déposent une fleur sur une tombe. Le voile est plus fin. Les silences vibrent.
Les jours sombres ont leur beauté
En novembre, tout ralentit. C’est une saison pour se délester, pas pour accumuler. On trie, même sans s’en rendre compte. Des objets, des pensées, des relations. On fait de la place. On prépare le terrain. Exactement comme avant Noël, quand on réarrange les meubles, sans trop savoir pourquoi.
C’est un nettoyage subtil. Un peu rugueux, parfois. Mais nécessaire.
Décembre : et la lumière revint
Puis arrive décembre. Il clignote. Il sent la cannelle, les oranges piquées de clous de girofle, les doigts gelés qui se réchauffent autour d’une tasse. Il parle fort, décembre. Mais derrière les chansons, les sapins et les vitrines brillantes, il y a autre chose. Une lumière plus ancienne. Plus profonde.
Le 12/12 : un portail de guérison douce
Autre date-clé : le 12 décembre. 12/12. Une énergie d’harmonie. D’alignement. On dit que ce portail-là est là pour recoller les morceaux. Tout ce qui a été éparpillé durant l’année. Les espoirs, les blessures, les rendez-vous manqués.
C’est le moment idéal pour pardonner. Pas forcément aux autres. Parfois, à soi. Pour tout ce qu’on n’a pas fait. Ou qu’on a fait de travers. Ce jour-là, on peut se dire : "Ok. J’ai fait de mon mieux." Et franchement, ça suffit souvent.
On sent une douceur revenir. Comme une main sur l’épaule. Une voix qui dit : "Tu peux te poser maintenant."
Le solstice du 21 décembre : la nuit la plus longue… et la promesse d’après
Et puis… il y a le 21 décembre. Le solstice d’hiver. La nuit la plus longue. Celle où le monde dort profondément. Mais aussi celle où la lumière commence à revenir. Lentement. Timidement. Presque en secret.
C’est un moment fort. Chargé. Un peu sacré, même. C’est le véritable cœur de l’hiver. Pas froid, non. Profond. Introspectif. Parfait pour se reconnecter. À ses racines. À ses rêves. À ce qu’on veut pour la suite.
On peut allumer une flamme. Une seule. Et se dire : "J’ouvre un nouveau cycle." Car c’est de ça qu’il s’agit. D’une renaissance intime. Pas spectaculaire. Mais solide.
Et ça aussi, c’est profondément Noël, non ? La lumière qui revient quand on n’y croit plus trop. Le miracle discret.
Noël : un portail déguisé en fête
Noël, on croit que c’est commercial. Qu’on l’a trop vu, trop entendu. Mais quand on gratte un peu, il y a autre chose. Il y a ce besoin ancien de se retrouver. De se donner chaud, cœur contre cœur. D’allumer quelque chose dans la nuit.
À propos de l'auteur
Marie AUFFRAY
– Maman de trois enfants et grand-mère de quatre petits-enfants, Marie vit Noël comme une fête du cœur. Elle partage ici ses astuces pour des fêtes simples, écolos et remplies de chaleur.
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