
11.11.2025 : le portail énergétique qui murmure à l’âme
Écrit par Marie AUFFRAY
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Il y a des dates qui clignotent sans bruit. Pas de feu d’artifice. Pas de notification sur l’écran. Et pourtant, quelque chose dans l’air vibre autrement. Le 11 novembre 2025, c’est exactement ça. Une journée pleine de silence… mais pas vide. Une journée miroir. Un portail énergétique, comme on dit souvent dans les cercles discrets. Sauf que ce n’est pas réservé aux initiés. Ce jour-là, tout le monde ressent. Même sans mettre de mot dessus.
Le 11.11, ce n’est pas juste un enchaînement de chiffres jolis. C’est un alignement, un point d’équilibre, un appel doux. Comme une main tendue depuis un endroit invisible. Et ceux qui écoutent, même d’une oreille distraite, peuvent capter des trucs puissants.
Un portail, c’est quoi, concrètement ?
Non, ce n’est pas une porte en bois magique qui flotte dans le ciel. On oublie les clichés ésotériques. Un portail énergétique, c’est un moment précis dans le temps où les énergies cosmiques et personnelles sont amplifiées. C’est un peu comme une station-service de l’âme. Sauf qu’au lieu de carburant, on y capte des prises de conscience. Des déclics. Des élans.
Et le 11.11, c’est l’un des plus intenses de l’année. Pourquoi ? À cause du chiffre 11, doublé. En numérologie, le 11 est un maître nombre. Il parle d’intuition, de vision intérieure, de vérité nue. Ce n’est pas une énergie qui flatte. C’est une énergie qui réveille.
Novembre, un mois déjà à fleur de peau
Il faut aussi le replacer dans son décor. Novembre, ce n’est jamais un mois simple. Les jours raccourcissent. Les arbres lâchent tout. Le vent se glisse sous les vestes, comme pour nous rappeler qu’on ne contrôle rien. Il y a un ralentissement naturel. Une sorte de vide qui s’installe, doucement. Et dans ce creux, le 11.11 vient faire résonner une question : qu’est-ce qui est encore vrai, là, maintenant ?
Parce que ce portail, c’est exactement ça. Une invitation à revenir à l’essentiel. À regarder sans détour ce qu’on ne veut pas trop voir. À ressentir, sans filtre. C’est doux, mais ça pique.
Ce que ça déclenche (même si on ne comprend pas tout)
Il y a des portails qui passent inaperçus. Le 11.11, lui, laisse rarement indifférent. Ce jour-là, il peut se passer tout et rien à la fois. Un coup de fatigue brutal. Une dispute qui éclate sans raison apparente. Un souvenir qu’on croyait effacé qui revient frapper à la porte. Et en même temps, des instants d’épiphanie. Des liens qui se font dans la tête. Une paix soudaine, presque étrange. Ce portail travaille en dedans. En silence. Il aligne. Il retire les masques. Il fait tomber les fausses urgences.
Certains parlent d’éveil spirituel. D’autres diront juste qu’ils se sont sentis différents. Légèrement déplacés. Comme s’ils n’étaient plus tout à fait les mêmes entre le matin et le soir.
Et Noël dans tout ça ?
On y vient. Parce que oui, le lien est là, solide, même s’il ne saute pas aux yeux tout de suite.
Noël, ce n’est pas juste une fête avec des guirlandes. C’est une période de bilan déguisée en réjouissances. C’est là qu’on revoit les gens qu’on aime. Qu’on réalise ce qu’on a perdu. Ce qu’on a gagné. Ce qu’on aurait voulu dire. Ce qu’on n’a pas su faire. Et pour vivre cette période-là sans se faire engloutir, il faut être solide. Aligné. Présent. Et devinez quoi ? Le 11.11 est là pour ça.
C’est le sas invisible avant la lumière. Un moment pour tout poser. Pour faire le tri. Pour laisser les non-dits au bord de la route, et ne pas les ramener à table le 24 décembre. Parce que si on traverse ce portail consciemment, même un peu, même maladroitement… alors le cœur s’allège. Et ça change tout.
Comment vivre le 11.11, concrètement ?
Pas besoin de cristal ou d’eau bénite. Ce portail n’a rien contre les trucs simples. Au contraire. Il aime le vrai.
Ce qu’on peut faire :
– Couper le bruit. Téléphone en silencieux. Musique douce ou rien du tout.
– Écouter ce qui monte. Même si c’est moche. Même si ça fait pleurer.
– Écrire sans réfléchir. Un mot, une page, un cri. Ce qui vient.
– Allumer une bougie. Regarder la flamme. Et poser une intention. Pas un vœu superficiel. Une vraie intention, viscérale.
– Marcher seul. Ou parler à quelqu’un qui comprend sans juger.
Et surtout : ne rien forcer. Ce portail, c’est une invitation. Pas un ordre.
Le 11.11 ne s’arrête pas à minuit
Ce qui commence ce jour-là peut durer plusieurs jours. Ou même se révéler bien après. Parfois, on ne comprend que plus tard ce que ça a bougé. C’est comme une graine plantée dans une terre encore froide. Elle prend son temps. Et elle sort souvent pile au bon moment. Par exemple… la semaine de Noël.
Car oui, c’est ça aussi, le lien. Ce portail prépare l’intérieur. Il ouvre l’espace pour accueillir les vrais moments. Pas les décorations, ni les plats en sauce. Mais les regards sincères. Les pardons qui libèrent. Les présences qui font du bien. Ce qu’on attend souvent en vain sous le sapin… mais qui peut arriver si on l’a d’abord semé en novembre.
Et si on ne ressent rien ce jour-là ?
Aucun souci. Ce n’est pas une course à la spiritualité. Il n’y a pas de bon ou mauvais ressenti. Certains capteront une clarté fulgurante. D’autres auront juste envie de dormir. Ou d’acheter une plante. Et tout ça est valide. Ce portail, c’est un écho. Il vient toucher ce qui est prêt, c’est tout. Le reste, il le laisse en paix. Mais même si on ne "sent" rien… le travail se fait quand même. En sourdine. Comme une musique qu’on n’écoute pas vraiment, mais qui nous influence malgré tout.
Et puis, une fois ce portail du 11.11 traversé — même à tâtons — quelque chose commence à s’installer. Lentement. On ne sait pas encore ce que c’est. Mais on sent que ça change. Que ça descend plus profond. Que ça prépare… autre chose.
Alors non, ce n’est pas fini. Ce n’était qu’un passage. Parce qu’en décembre, d’autres portes discrètes mais puissantes s’ouvrent. Deux, exactement. Deux appels à ralentir encore, à se recentrer sans bruit, juste avant que Noël n’arrive et nous tende son miroir.
On croit souvent que tout s’accélère en décembre. Mais ceux qui écoutent savent : la magie, elle se cache dans les interstices. Et les portails du 12/12 et du 21/12 en sont les gardiens silencieux.
Un Noël plus doux commence toujours bien avant décembre
Le 11.11.2025 n’est pas juste une date. C’est un seuil. Si on le traverse les yeux ouverts, sans chercher à comprendre chaque vibration, on se prépare à un Noël plus juste, plus intérieur, plus vibrant. Pas parfait, non. Mais habité.
Et ça, ça vaut bien un moment de silence, un souffle conscient, un mot vrai posé quelque part dans un carnet.
Parce que parfois, le plus beau cadeau, c’est simplement de se retrouver. Avant de retrouver les autres.
À propos de l'auteur
Marie AUFFRAY
– Maman de trois enfants et grand-mère de quatre petits-enfants, Marie vit Noël comme une fête du cœur. Elle partage ici ses astuces pour des fêtes simples, écolos et remplies de chaleur.
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