
Comment souhaiter bonne Saint-Jean-Baptiste ? Nos 30 idées de messages
Écrit par Marie AUFFRAY
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La Saint-Jean, ce n’est pas juste un feu qui crépite dans la nuit. C’est une fête qui parle à l’âme, qui fait battre le cœur plus fort, un peu comme un tambour de village. Elle sent le bois brûlé, les rires, les étoiles et les souvenirs. Mais une question revient souvent : comment souhaiter bonne Saint-Jean-Baptiste sans tomber dans le cliché ou le froid message copié-collé ?
On vous a concocté 30 messages. Des vrais. À envoyer avec le sourire ou la larme à l’œil. Et toujours ce petit supplément d’âme qui fait que, oui, ça touche.
Pour les amis qui aiment faire la fête
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Feu, bière, chansons et toi dans la lumière : bonne Saint-Jean !
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Ce soir, on danse comme si demain n’existait pas !
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À la tienne et à la Saint-Jean : que ça flambe !
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Une Saint-Jean sans toi ? Autant allumer une chandelle dans un congélateur.
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Je nous souhaite une nuit de feu et d’étoiles filantes.
Pour la famille (ou ceux qui font office de)
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Que ce feu de la Saint-Jean rallume tout ce qui s'était éteint.
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Des étincelles pour raviver les liens, toujours.
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Bonne Saint-Jean, que ton cœur brûle de tendresse.
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Même loin, je te serre fort au bord du feu.
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À ceux qu’on aime fort, même sans bûcher : joyeuse Saint-Jean !
Pour les collègues ou connaissances
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Bon feu, bonne musique et zéro dossier ce soir !
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Joyeuse Saint-Jean-Baptiste ! Que la flamme vous inspire !
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Profitez bien de cette soirée, sans modération (sauf la boisson, peut-être...)
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Que cette fête rallume en vous l’énergie des grands jours.
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Une pause festive bien méritée : belle Saint-Jean !
Pour les amoureux (ou les flirts d’été)
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J’allumerais bien un feu rien que pour te regarder danser.
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Toi + feu + étoiles = le genre de soirée qu’on n’oublie pas.
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Dans la nuit, ton sourire éclaire plus que les flammes.
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Bonne Saint-Jean, toi qui embrases mon cœur comme un feu sacré.
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Et si on s’envoyait en l’air… en regardant les feux d’artifice ?
Pour les nostalgiques, les rêveurs
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Tu te souviens de nos feux de camps et des guimauves ? Moi oui.
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La Saint-Jean, c’est un peu une chanson d’enfance qui revient.
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Ce soir, le feu me parle de toi.
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Il y a dans l’air ce parfum de bois, de souvenirs, de toi.
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On n’a pas toujours besoin de feu pour se réchauffer : parfois, un souvenir suffit.
Pour les Québécois d’ici ou d’ailleurs (ou ceux qui aiment le Québec)
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Bonne Saint-Jean-Baptiste ! Qu’on soit au Québec ou pas, le cœur y est.
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Fièrement québécois, même à distance ! Vive le 24 juin !
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À nos racines, à nos chansons, à notre langue : joyeuse Saint-Jean !
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Ce soir, c’est poutine, feu de joie et fierté dans les veines.
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Qu’on lève nos verres à Félix, à Céline et à notre beau Québec !
Et si on veut en dire un peu plus…
Parce qu’un simple message, parfois, ne suffit pas. Alors on glisse une note vocale, une vieille photo, un refrain chanté faux, un “hé tu te rappelles ?” Et là, le feu prend. Le lien se rallume, aussi vif que les flammes qu’on admire.
Et puis, avouons-le, la Saint-Jean, c’est presque un mini-Noël d’été. Y’a les chansons, la chaleur humaine, les retrouvailles, les vœux qu’on lance en l’air comme des lanternes. Ce n’est pas un hasard si Noel-etmoi.com en parle : tout ce qui rassemble, tout ce qui éclaire, tout ce qui crée du lien mérite d’être célébré.
Une fête qui réchauffe plus que les nuits de juin
Ce qui compte au fond, ce n’est pas tant la formule que l’intention. Un “bonne Saint-Jean” peut être balancé comme un texto automatique… ou devenir un cadeau enflammé, une mini-déclaration, une étincelle dans une journée ordinaire. Alors que ce soit tendre, drôle, brûlant ou tout ça à la fois, faites passer le feu.
Et si vous cherchez encore le bon mot… relisez ces idées. Ou inventez le vôtre. L’important, c’est qu’il vienne du cœur. Et qu’il réchauffe celui de l’autre. Comme un feu de la Saint-Jean.
Saint Jean-Baptiste, ce n’était pas un simple personnage biblique planqué entre deux versets poussiéreux. Non. C’était un type à part. Un vrai. Un prophète à la voix rugueuse, au regard de feu, souvent vêtu de peaux et de convictions. On aurait dit un rockeur mystique du désert, version -30 avant Insta.
Un homme du désert, pas des palais
Jean, il vivait dans le désert de Judée. Pas pour faire une retraite bien-être. Non, lui, il prêchait. Fort. Comme si chaque mot portait le poids du ciel. Il appelait les gens à changer. À se retourner de l’intérieur. On l’entendait crier dans le silence des pierres : "Préparez le chemin du Seigneur !"
Et il baptisait. Dans le Jourdain. Pas symboliquement. Pour de vrai. L’eau coulait, les cœurs s’ouvraient. Il ne vendait rien. Il réveillait.
Le cousin de Jésus, mais pas dans son ombre
Eh oui, Jean et Jésus étaient cousins. Mais pas question pour Jean de chercher la lumière. Il le dit d’ailleurs : “Il faut qu’Il croisse, et que je diminue.” C’est lui qui baptisera Jésus, marquant le début d’une histoire que même les vents n’ont jamais oubliée.
Jean savait. Il annonçait un autre. Il était le prélude d’un chant plus grand. Pas jaloux, pas flou. Juste à sa place. Et quelle place.
Un homme entier… jusqu’au bout
Jean n’a jamais fait dans la diplomatie. Il dénonçait, y compris les puissants. C’est ce franc-parler qui lui coûtera la tête. Littéralement. Hérode, roi local, n’a pas digéré ses critiques. Et un soir de caprices royaux, Jean est décapité sur un plateau.
Tragique ? Oui. Mais cohérent. Il aura tenu bon jusqu’au dernier souffle. Fidèle à sa voix, à sa mission.
Et pourquoi le fête-t-on le 24 juin ?
Simple : parce que selon la tradition, Jean serait né six mois avant Jésus. Et comme Jésus est fêté à Noël, le 25 décembre… ça nous donne la Saint-Jean le 24 juin. Une fête pleine de feu, de lumière, de vie. Comme lui.
Une figure qui dépasse les religions
Jean-Baptiste, c’est plus qu’un nom dans un calendrier. C’est une figure de vérité, de courage, de ceux qui avancent coûte que coûte, même seuls, même en criant dans le désert. On l’admire, même sans croire. Parce qu’il y a chez lui cette force brute, nue, sans artifice, qui nous manque parfois.
Alors oui, quand on fête la Saint-Jean-Baptiste, on fête plus qu’un prénom. On célèbre l’élan, l’engagement, la lumière au cœur de l’ombre.
Et franchement ? Ça mérite bien un feu.
À propos de l'auteur
Marie AUFFRAY
– Maman de trois enfants et grand-mère de quatre petits-enfants, Marie vit Noël comme une fête du cœur. Elle partage ici ses astuces pour des fêtes simples, écolos et remplies de chaleur.
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