
Bon mois de juin 2025 : comment souhaiter un doux renouveau à ceux qu’on aime
Écrit par Marie AUFFRAY
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Il arrive toujours un peu sur la pointe des pieds, ce mois de juin. Il gratte doucement à la porte du calendrier. Il n’a pas la fureur de juillet, ni la lenteur de mai. Il est là, entre deux respirations. Avec ses promesses. Ses parfums de basilic. Ses heures qui s’étirent comme un chat au soleil.
Alors pourquoi ne pas souhaiter un bon mois de juin 2025 à ceux qu’on aime ? On le fait bien pour janvier, pour Noël, pour les anniversaires… et si juin devenait lui aussi un moment de mots doux, de petits élans, de clins d’œil affectueux ?
Il suffit de presque rien. Mais ça change tout.
À quoi ça sert, de souhaiter un bon mois de juin ?
Franchement ? À beaucoup plus qu’on ne croit. C’est un petit fil invisible. Un geste simple qui dit : je pense à vous, même sans raison précise. Et parfois, ce sont ces messages-là qui touchent le plus.
Pas besoin de grandes déclarations. Juste une présence. Un mot doux. Une attention ensoleillée. Comme un jus de citron sur des fraises fraîches. Paf, ça réveille.
Juin, c’est la porte d’entrée vers l’été. Et offrir ce passage, c’est presque un cadeau. Un encouragement discret. Une façon de dire : on y est presque. Tiens bon. Savoure déjà.
À qui souhaiter un bon mois de juin 2025 ?
À tout le monde. Mais pas n’importe comment. Voici quelques idées selon les personnes :
À ses proches, ceux du cœur
Un texto simple peut suffire :
“Je te souhaite un mois de juin plein de douceur, de lumière et de fous rires inattendus.”
Ou alors, plus imagé :
“Que ton mois soit comme une sieste à l’ombre d’un figuier.”
On peut aussi glisser un mot dans une carte, avec une fleur séchée. Ou sur un carnet laissé sur la table. Ce genre de petit geste qui reste, longtemps après.
Aux collègues (oui, même ceux qui parlent fort en visio)
Un Slack ou un e-mail léger :
“Bon mois de juin à toi ! Que tes réunions soient courtes et tes week-ends longs.”
L’humour fonctionne toujours. Et qui sait ? Ça peut changer une journée.
Aux parents, aux grands-parents
Eux, ils adorent les traditions nouvelles. Un petit coup de fil. Une carte postale même sans vacances. Un message vocal avec des oiseaux en fond.
“Je vous souhaite un joli mois de juin, rempli de ce que vous aimez. Des fleurs. Des gens. De la lumière.”
Ils ne le diront pas, mais ça fera fondre quelque chose, là, juste entre les côtes.
À ceux qui vont mal
Ne rien forcer. Mais ouvrir une fenêtre. Une phrase tendre.
“Je t’envoie un bout de ciel de juin. Il fait bon là-haut. J’espère qu’il arrivera jusqu’à toi.”
On n’est pas là pour résoudre. Juste pour être là.
Comment souhaiter un bon mois de juin sans que ça sonne creux ?
Éviter les copier-coller. Les “bon mois de juin” vides de sens. Mettre un peu de soi dans le message. Une image, une sensation, une anecdote.
“Hier j’ai senti l’odeur des tilleuls en fleurs. J’ai pensé à toi. Je te souhaite un mois rempli de parfums qui font du bien.”
On peut aussi créer une petite tradition. Comme une playlist “Juin 2025” qu’on partage. Ou une recette fraîche. Un défi douceur à faire ensemble : “Et si on mangeait une glace par semaine ce mois-ci ?”
Et si on osait des vœux inattendus ?
Pas juste “bon mois de juin”. Mais des souhaits qui font sourire ou réfléchir :
-
Que juin t’apporte des siestes longues et des textos courts.
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Que tu oublies l’heure. Souvent.
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Que tu croises des gens qui sentent bon le soleil.
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Que ton frigo soit toujours rempli de ce que tu aimes.
-
Que tu trouves une chanson qui colle à ton humeur.
-
Que tes chaussures soient confortables, même en marchant longtemps.
C’est ça aussi, le style NOELE ET MOI : des mots qui touchent, qui ressemblent à des caresses. Pas des formules toutes faites. Des éclats d’âme.
Un petit rituel qui peut tout changer
Et si on en faisait une habitude ? Chaque 1er juin, prendre 10 minutes. Choisir 3 personnes. Leur envoyer un message solaire. Comme on enverrait une carte de vœux, mais en version citron-menthe.
Ce petit rituel dit beaucoup. Il dit : je célèbre le temps qui passe, même en juin. Je choisis la tendresse, même quand ce n’est pas Noël.
Parce qu’au fond, Noël, ce n’est pas qu’un jour dans l’année. C’est une manière de regarder les autres. D’offrir du chaud, du vrai, du lumineux.
Et si on commençait… maintenant ?
À propos de l'auteur
Marie AUFFRAY
– Maman de trois enfants et grand-mère de quatre petits-enfants, Marie vit Noël comme une fête du cœur. Elle partage ici ses astuces pour des fêtes simples, écolos et remplies de chaleur.
Et vous, quelles sont vos traditions ? Vos idées ? Vos petites habitudes qui font la magie de Noël chez vous ?
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