Calendrier de l'avent Bonbon: comment le fabriquer?

Fabriquer son calendrier de l’Avent bonbon : sucré, ludique, inratable ?

Chaque année, c’est le même petit manège. L’Avent arrive (sans prévenir, comme un chat sur un oreiller tout chaud), et on se retrouve devant un rayon plein de boîtes déjà toutes prêtes. Chocolats format mini, thés parfumés ou bougies en kit. Sympa. Mais parfois… un peu fade, non ? Et si on faisait mieux ? Ou plutôt : plus drôle, plus nous, plus sucré ?

Et là, bim : une idée toute simple. Et si on fabriquait un calendrier de l’Avent bonbon ? Oui, avec les mains, les doigts qui collent un peu, le plaisir de fouiller dans les sachets. Un projet doux, coloré, qui donne le sourire (et parfois des caries, mais bon… c’est Noël).

Un calendrier de l’Avent 100 % bonbons… pourquoi ça marche si bien ?

Parce que c’est coloré, d’abord. On voit tout de suite les tons vifs : rouges, verts, orange fluo, rose barbe à papa. Rien qu’à les regarder, les bonbons réveillent quelque chose. Un coin d’enfance. Une fête foraine. Le bruit du plastique qui craque. Le sucre qui pique un peu sur la langue…

Ensuite, c’est surprise après surprise. Chaque jour, une mini découverte. Une fraise Tagada cachée dans du papier doré. Un Carambar roulé dans une chute de tissu. Un ourson gélatineux qui fait le timide dans une enveloppe. Et devinez quoi ? On peut même glisser un petit mot, une blague, un gage, ou un souvenir. Histoire que ce ne soit pas que du sucre.

Et puis franchement… fabriquer, c’est pas réservé aux pros du DIY. Pas besoin d’un pistolet à colle dernier cri. Un peu d’imagination, du scotch, quelques sachets, et hop, le tour est joué. Même avec des mains maladroites, ça fonctionne. Surtout si on fait ça avec des enfants. Ou avec une amie. Ou avec son crush (oui, il y a quelque chose de très intime à choisir des bonbons pour quelqu’un).

Bonbons à glisser : on met quoi dans les petites cases ?

Pas besoin de chercher compliqué. Le mieux, c’est le panaché. Un peu comme une playlist sucrée.

• Les classiques (Dragibus, crocodiles, Michoko)
• Les régressifs (Krema, Arlequin, roudoudous en coquille)
• Les doux (guimauves, chamallows, nounours au chocolat)
• Les dingues (bonbons qui piquent, qui colorent la langue, qui crépitent…)

Un petit conseil ? Variez les textures. Un bonbon dur le 1er décembre, un truc qui fond le 2, un chewing-gum le 3. Et ne pas oublier le 24 : là, c’est le feu d’artifice. Pourquoi pas une sucette géante ? Ou un petit sachet “mix final” ? Vous savez, le genre de truc qui fait dire : “Wouah, j’aurais dû faire ça chaque année”.

Comment fabriquer son calendrier de l’Avent bonbon sans s’arracher les cheveux ?

Il y a mille façons. Vraiment. Mais en voici trois qui font mouche à tous les coups :

1. La version pochettes suspendues

On prend 24 petits sachets (papier kraft, tissu, plastique recyclé… comme on veut). On les remplit. On les ferme (ficelle, masking tape, agrafeuse si besoin). Et on les accroche à une ficelle tendue ou à une branche en bois flotté. Visuel, poétique, et ça prend peu de place.

2. Le tiroir récup’

Une boîte à chaussures, des rouleaux de papier toilette découpés, un vieux casier à vin… tout est bon. On décore, on numérote, on cache les bonbons. Bonus : ça tient debout, donc parfait sur une commode.

3. La surprise dans la maison

Un peu plus joueur : on cache chaque jour le bonbon dans un endroit de la maison. Et on laisse un indice. “Cherche là où dorment les chaussettes”… Vous voyez l’idée ? Parfait pour les enfants (et pour les adultes qui aiment jouer, donc tout le monde).

Et si on sortait des sentiers sucrés ?

C’est drôle, mais… un calendrier de l’Avent bonbon, ça ne se limite pas qu’aux bonbons. On peut y glisser des citations qui font sourire, des défis rigolos, des souvenirs. Un ticket de cinéma découpé. Une mini photo. Même un petit mot d’amour. Il suffit d’un rien pour faire battre le cœur.

Et puis parfois, on n’a pas besoin de 24 trucs différents. On peut aussi répéter un bonbon qu’on adore. Ou faire des doubles. Les règles ? Il n’y en a pas. C’est justement ce qui est bon.

Ça coûte cher, ce truc-là ?

Moins qu’on croit. Une poignée de bonbons par jour, ça peut revenir à moins de 10 euros pour tout le mois. Surtout si on achète en vrac ou qu’on pioche dans ce qu’on a déjà.

Et puis… le temps passé à le faire, ça vaut largement le prix. On écoute un podcast, on met une playlist kitsch de Noël (Mariah Carey, toujours), on rigole tout seul devant un emballage qui ne ferme pas. C’est aussi ça, la magie.

Fabriquer un calendrier de l’Avent bonbon, c’est une petite folie douce.

Un bricolage sucré, accessible, imparfait (et c’est très bien comme ça). Un geste pour soi, ou pour quelqu’un qu’on aime bien. Pas besoin que ce soit parfait. Juste… drôle, tendre, un peu collant, très coloré, et joyeusement inutile.

Et ça, franchement, c’est parfois ce qu’on fait de plus beau.

Et si on élargissait la gourmandise ?

Parce qu’on ne va pas se mentir… parfois, on a envie de tout goûter. Le bonbon, c’est bien. Mais le chocolat qui fond lentement, la tranche de saucisson à l’apéro, ou même le calendrier 100 % plaisir assumé… eh bien, ça mérite aussi qu’on y jette un œil, non ?

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